samedi 31 décembre 2011

L'enfer, c'est..... la famille ?

Non, je sais, ce n'est heureusement pas le cas de tout le monde. Et j'espère que la famille que je suis en train de créer échappera, au moins un peu, à ma règle...

L'épreuve de Noël restera donc toujours une épreuve.
Je ne la zapperai pas tant que ça restera un tel bonheur pour mon petit garçon, je ne lui ferai pas ça. Mais disons que je suis heureuse de m'être rappelé tout le mois de décembre que ce que j'aime dans Noël, c'est décembre et ses lumières, ses parfums, son ambiance, les reflets dans les yeux de mon petit homme d'amour.
Parce que pour une fois, je n'ai aps été déçue de Noël.
Parce que cette année, je n'en attendais plus rien. Il aura donc fallu 35 ans pour que j'arrête de croire au miracle de Noël dans ma famille.
Ou disons que maintenant, je sais que le miracle est ailleurs.

C'est ultra paradoxal, et du coup, mes pensées sont un peu brouillonnes et difficiles à mettre en mots.
Essayons de faire simple.
A l'arrivée, tout est beau, tout est merveilleux, ma mère s'escrime même à faire croire qu'en sa présence, mon fils est juste un petit garçon extraordinaire, calme, gentil, etc.
J'ai même dû répéter plusieurs fois le jour où on est arrivés un truc comme "mais quand je le dis que mon fils est extraordinaire...".
Sauf que je vois bien que ce qu'elle veut dire, c'est que c'est elle qui sait y faire.

Et sauf que ça dure une demi-journée.
Soit le temps limite pendant lequel ma mère est capable de se contenir un minimum.
Après, tout dérape.
Après, ce ne sont plus qu'engueulades perpétuelles mon père, stress, et tout ce qui va avec.
Rien de bien fort (en tout cas pas cette fois), juste assez pour qu'on entende que ça se passe mal dans la cuisine, ou leur chambre, ou le salon, quand on n'y est pas, les phrases échangées entre eux, même devant nous, sont juste dites avec une haine palpable et froide qui pourrait donner des frissons si ce n'était pas habituel, mais disons, rien qui puisse nous faire dire "ok, on s'en va".

Alors on reste.
D'habitude, quand on y va, on arrive le samedi après-midi, et on repart le lendemain après-midi.
Le dimanche matin est déjà difficile.
Cette fois, on restait un jour de plus.
OUCH.
Déjà l'après-midi du 2ème jour, j'ai bien vu que c'en était trop pour ma mère, qu'elle ne supportait plus Tinamour.
Elle l'aime de tout son coeur, ça aussi, ça se voit. Mais elle ne le supporte pas. Elle ne supporte pas la vie avec un enfant de toutes façons. Enfin, comme si elle supportait grand chose...

Et puis le petit moment où j'aurais mieux fait de la fermer, c'est quand mon père, je ne sais plus à quelle occasion, a élevé la voix envers fiston, alors que je trouvais que c'était totalement inaproprié.
J'ai juste dit calmement et en souriant "il faudrait peut-être lui dire pourquoi". Et c'est parti en live.
J'étais face à un tribunal qui m'expliquait que j'étais en train de créer une vie d'enfer à mon fils, qu'il serait incapable de vivre en société, de comprendre des règles, d'avoir des amis, d'aller à l'école, qu'il serait en échec scolaire avant d'avoir eu le temps de savoir s'il était intelligent parce que l'école le mettrait à la porte.
J'ai essayé de ne pas m'emballer.
Pas simple, mais je crois avoir réussi à ma contenir suffisamment.
Je ne voulais pas m'embarquer dans le procès de leur façon de faire.
Je ne voulais pas que ça tourne au réglement de compte.
Je voulais juste dire que pour moi, dire non, si on explique, ben je trouve ça juste plus cohérent.
Je ne voulais pas reparler coups, violence, bleus, désespoir.
Alors j'avais du mal face à eux qui me disaient que moi, petite, j'avais compris que quand on disait non, c'était non. J'avais du mal à leur dire que moi, je ne voulais pas que mon fils comprenne que non, c'est non, juste parce qu'il a peur du coup qui viendra sinon.
Mais comment leur dire ça sans prononcer les mots qui fâchent ?

J'ai juste parlé de peur. Juste dit que je ne voulais pas qu'il intègre les choses par peur. Pour eux, c'est illusoire.
Disons qu'à un moment, mon père a fini par faiblir un peu, et reconnaître qu'un enfant à qui on dit non, et qui continue malgré tout, ben qu'à part répéter, encore et encore, il n'y a pas 100 000 autres manières de faire sans violence.
Ma mère n'a pas désarmé en revanche. C'est elle qui a essayé de m'embarquer dans le passé. Je ne l'ai pas laissé faire.
C'était trop facile.
J'ai continué à répéter aussi calmement que possible que c'était ma façon de faire, qu'ils avaient totalement le droit de ne pas l'approuver, de trouver que c'était une mauvaise façon de faire, de n'être pas d'accord, mais que c'était à moi, la maman, de décider comment ce petit bout serait élevé.

Au final, cette discussion s'est terminée parce que le principal concerné, qui jouait dans une autre pièce a eu envie de faire pipi et caca.
Quand je vous dis qu'il est merveilleux ce petit homme là.

J'avais juste envie de pouvoir le serrer fort dans mes bras, et de pouvoir laisser couler mes larmes.
Mais ce n'était pas le moment.
Alors j'ai juste été m'occuper de lui, et suis revenue toujours souriante, pour débarrasser, et passer à autre chose.
Ma mère pleurait en débarrassant, j'ai même réussi à la consoler, à lui dire qu'il ne fallait pas pleurer, qu'on avait le droit de ne pas être d'accord, mais qu'il ne fallait pas pleurer pour autant, qu'elle avait quand même un chouette petit fils et que c'était bien ça l'important.
Elle a recommencé un peu avec son inquiétude pour lui, sa future incapacité à s'adapter au monde, alors je lui ai redit qu'il s'intégrait déjà très bien à la crèche, que je lui montrerai son cahier de vie en fin d 'année, que ça la rassurera totalement de voir comment tout se passe à la crèche, etc.

J'aurais juste voulu ne pas avoir à garder ça juste pour moi.
Mais disons que j'ai été un peu blessée du silence assourdissant de mon homme à mes côtés pendant toute cette loooongue discussion.
Alors je n'ai pas voulu revenir là dessus.
Ca tournait en rond dans ma tête pendant les 2h de trajet, mais on a parlé de tout autre chose.
Ca ressortira quand le recul aura apaisé mes pensées.

Et pourquoi je disais que tout ça était finalement paradoxal ?
Parce que j'ai réussi à ne pas me laisser embarquer dans mon passé. Parce que j'ai réussi à ne pas m'enflammer. Parce que j'ai réussi à ne pas me faire plus de mal.
Et surtout, surtout, parce que je suis sortie de là en me disant que malgré tout ce qu'ils avaient pu me dire, non, je ne remets absolument pas en question ce que je pense.
Je ne pense pas être parfaite, n'imaginez pas ça.
Je sais parfaitement que mon histoire fait que certaines choses ne seront jamais comme elles peuvent l'être ailleurs.
Mais je sors de là intimement convaincue que ma façon de faire n'est pas mauvaise.
Disons que je suis heureuse de n'avoir pas été ébranlée.
Oui, je sais, c'est une force majeure que de savoir se remettre en question.

Et bien moi, là, je trouve que c'est une force majeure que de n'avoir pas laissé de brèche ouverte.

J'aime ce petit être plus qu'aucun mot ne saura jamais le dire. Et je crois que ça me guide, même quand mes fantômes essayent de me désorienter.

mercredi 21 décembre 2011

Plop, flop, et autres actualités.

Plop, c'est ce qu'a dû faire mon ventre quelque part entre samedi et dimanche. Plop comme le bruit d'un truc qui double de volume d'un coup.
Oui, sans doute j'exagère, m'enfin je suis persuadée d'avoir gonflé d'un coup ce dernier week-end, et ça fait bigrement drôle, parce que je me trouvais déjà sacrément arrondie !
Y a bien mon homme qui me regarde ébahi quand je lui montre ma poche à merveille toute tendue, quelques collègues qui m'ont dit "là, tu ne peux plus le cacher !" (euh bon, en même temps, ça fait quelques mois quand même...), donc je ne dois pas être folle, ça a bien fait plop.
Ma petite chipette qui grandit là dedans semble très bien se porter, elle profite visiblement très bien des choses qu'absorbe sa future maman et présente des mensurations plutôt copieuses, mais en même temps, c'est ma fille, et c'est la soeur de son frère, alors il pouvait difficilement en être autrement.
Et moi ? Moi, je vais bien. Ca me fait presque drôle de le dire tellement j'ai morflé, surtout les deux premiers trimestres de cette grossesse.
Alors oui, je suis une baleine, une mongolfière, une baudruche, tout ce que vous voudrez, et donc, je ne suis pas prête à faire un marathon, n'empêche que je me sens revivre.
Et si l'on ajoute à ça que je suis à la maison ce matin, alors je trouve que mon bonheur est pas mal complet.

Enfin tout ça, c'est sans compter le boulot. Le flop du titre.
Je suis censée être en congé mat bien sûr, mais pas si évident, même si je m'étais jurée de les laisser se dém.... cette fois, puisque monsieur le Président avait lui-même choisi mon remplaçant (contre mon avis), et qu'il avait fait venir ce cher monsieur 2 mois avant mon départ présumé (trop génial d'vaoir quelqu'un dans les pattes tout ce temps).
Moui, mais c'est sans compter que j'avais peut-être raison de ne pas choisir celui-là. Ah, ben non, en fait, j'avais TOTALEMENT raison...
Outre le fait qu'il soit sympathique, il est juste totalement incapable de faire ce pour quoi on le paye (cher...).
Il fait plein de trucs, c'est bien, mais ce qu'on lui demande, c'est ballot, il ne sait pas faire.
En même temps, je ne peux même pas lui en vouloir, il n'a jamais prétendu savoir le faire.
Du coup, je ne peux aps compter sur lui pour me dégager l'esprit de tout ce qui n'est aps fait en mon absence, et du coup, malgré tout ce que j'avais pu me jurer, je suis incapable de me déconnecter et de ne pas y aller.
J'y vais moins, mais si je me réveille la nuit et que j'ai le malheur de mettre le doigt dans l'engrenage de ce qui ne sera pas fait, alors oui, je finis par y aller pour faire taire un peu ma conscience, provisoirement.
Ca sera différent avec un bébé dans les bras, mais en attendant, c'est comme ça que je fonctionne.

Mais hier soir, donc, première BIG réunion à laquelle mon remplaçant devait prendre vraiment ma place. Jusque là, je tenais mon rôle, il assistait pour voir, s'imprégner, tout ça.
Cette fois, c'est lui qui devait être le DG, et moi qui devais juste être là pour les éventuelles questions, l'aider, etc.
Moui.
Ben il n'est pas venu.
Je n'arrive encore pas vraiment à y croire je dois dire.
Mes collègues m'ont dit qu'il avait dit en fin de matinée qu'il allait voir le médecin en début d'après-midi, qu'il avait un petit coup de pompe.
Et uis voilà.
Sa voiture n'est plus là, on n'a pas eu de nouvelles, mais il n'est juste pas venu à la réunion.
Et alors qui va se taper le compte-rendu pendant les vacances de Noël ???
Je suis (un peu) hors de moi.
S'il a vaiment eu un grave souci, alors je retire tout ce que j'ai dit, m'enfin quand même, il pourrait prévenir, c'est la moindre des choses, non ???
On n'arrive pas à le joindre non plus.
Bon, allez, je passe là dessus, pas la peine de m'énerver.

Et sinon ? Et bien les vacances de Noël la semaine prochaine, et donc l'ambiance de Noël ces jours-ci. Les lumières dans les yeux de mon fils..... A pleurer un peu plus chaque jour.
J'ai le coeur si rempli d'amour, et si plein de larmes des chagrins qu'il devra traverser...
Je ne devrais pas y penser, je sais bien, mais j'ai si mal au coeur quand il me parle d'Elora, une stagiaire qui est venue à la crèche quelques temps pour un remplacement, et qui n'est plus là, et qu'il veut voir, et qui lui manque, et que toutes les jolies femmes brunes de la terre qu'il croise, c'est "comme Elora".
Que sa maman, quand elle n'a pas d'élastique dans les cheveux, c'est comme Elora, que sa petite soeur, il veut l'appeler Elora, et que non, Elora, elle ne vient plus à la crèche, et il a le coeur brisé.
Ma raison me dit que c'est un chagrin qui lui apprendra quelque chose.
Mon coeur se brise juste en encore plus de morceaux que le sien.
Je voudrais lui offrir son Elora sur un plateau d'argent, je me retiens de demander ses coordonnées à la crèche pour la faire venir, je sais qu'il faut que j'accepete qu'il traverse des chagrins. Je voudrais juste que ça me fasse moins mal.

Je l'aime, c'est indicible.
Je fais de mon mieux, j'espère que ça sera suffisant.
C'est juste tellement énorme ce qu'on a dans le ceur pour ces petits êtres merveilleux.
Mais avec deux, je vais juste m'évanouir d'amour.....?

mardi 20 décembre 2011

...

Que le porte parole du parti politique le plus important du pays (d'après les dernières élections en tout cas) réussisse à dire en direct à la télé qu'il soutient la grève des personnels de sécurité des aéroports qui bloquent les départs en famille pour Noël de milliers de personne, qu'il réussisse à dire qu'il leur donne raison de le faire à ce moment-là, alors là, j'ai juste l'impression que la démagogie dépasse les bornes, définitivement.

Cette campagne aura fait bien du mal, et ce n'est pas fini....

mardi 13 décembre 2011

Egalité

Parfois, je me dis que finalement, on pourrait atteindre l'égalité hommes-femmes au travail d'une façon un peu inattendue.
J'entends bien qu'une future / nouvelle maman est en congé maternité et est donc censée être indisponible pour son boulot (même si j'avoue que parfois, voir les gens quitter comme ça, ne pas se poser la moindre question pendant 4 mois ou plus, et revenir comme une fleur, ça m'horripile...), mais les papas...

Ok, ils ont leur congé paternité. Chez nous, c'est plutôt sympatique : je ne leur demande pas de prévenir dans les délais légaux, j'attends de voir quand viendra la naissance, et le nouveau papa pourra alors poser ses jours comme ça lui convient une fois que la naissance est arrivée.
C'est souple pour eux, pas vraiment facile à gérer pour moi, mais je me dis que c'est une petite concession qui peut arranger bien des couples au moment d'une naissance.

Ok, ils peuvent aussi en profiter éventuellement pour cumuler des congés annuels non encore pris.

Bon, mais dans ce cas là, quand l'absence commence à devenir si longue, j'estime qu'ils peuvent être posés un minimum à l'avance, parce qu'en s'arrangeant bien, un congé paternité + les jours légaux pour une naissance, ça peut déjà commencer à faire 3 semaines d'absence du bureau, alors si on ajoute des congés, ça commence à faire long, surtout si ça n'est aucunement planifié à l'avance.
On est quand même une petite collectivité, chaque personne représente un service, et donc quand cette personne n'est pas là, c'est tout un service qui disparaît.

Bref, je trouve que je suis déjà sympa de laisser prendre le congé paternité au moment de la naissance sans avoir à le planifier, mais alors quand du coup, un agent me reproche de ne pas le laisser y ajouter plusieurs semaines de congés QUAND CA L'ARRANGE ET SANS ME PREVENIR A L'AVANCE, ça m'énerve.


Bon, ça, c'est une chose.
Mais en plus, cet agent en question avait fait une énorme boulette en octobre. Ca avait fait l'objet d'une longue discussion pour remettre les choses en place, expliquer les conséquences de sa bêtise, et mettre en place un protocole pour que ça ne puisse pas se reproduire.

Et devinez ? Bingo, 3 semaines après, EXACTEMENT la même boulette, avec des conséquences encore plus fâcheuses cette fois, sans compter le fait que ça m'ait quelque peu ulcérée de voir que quelqu'un (qui plus est un cadre...) soit capable de faire 2 fois la même aussi stupide bêtise à si peu d'intervalle.

Pour des raisons d'emploi du temps, et comme cet agent ne travaille pas dans les mêmes locaux, je n'ai pas pu le voir avant la naissance - 2 semaines plus tard - de sa fille.

Alors quand j'ai pu enfin le voir la semaine passée, qu'après les félicitations d'usage (et le gros cadeau qui va avec...) j'ai pu lui parler un peu boulot, que je lui ai reparlé de ces deux épisodes, savez-vous comment il s'est justifié ?
"ben oui, mais y avait la naissance, tout ça, c'était difficile de penser à tout !"
Je lui ai fait remarquer que la première boulette était intervenue plus d'un mois et demi avant la naissance, la deuxième deux semaines avant et sa réponse "ben y avait tous les préparatifs, tu ne te rends pas compte, j'avais la tête ailleurs !".

Euh, si, comment dire, je me rends compte. Des fois qu'il n'ait pas remarqué, je suis une baleine enceinte de 8 mois avec un enfant de bientôt 3 ans à la maison.

M'enfin si les hommes commencent à ne plus être compétent à leur poste 2 mois avant la potentielle date de naissance de leur enfant, et qu'en plus, ils estiment pouvoir prendre à leur guise 2 mois de congés suite à cette naissance, ben au final, on arrive à quelque chose près à la durée d'absence de la maman...

Donc oui, on pourrait finalement y arriver de cette façon à l'égalité homme-femme au boulot.

Si je trouve que c'est un pas en avant ?

Hum..................................

mardi 6 décembre 2011

Défouloir

Il me semble que si j'avais une cinquantaine d'année, j'aurais carrément trop honte d'aller voir mon patron une semaine sur deux pour réclamer un truc en commençant systématiquement ses phrases par "ma femme m'a dit que....".
Ben y en a que ça ne dérange pas.
Pas du tout.
Oui, ben voilà, moi, ça me dérange, j'en ai ma claque d'entendre ça.
Alors aujourd'hui, je lui ai dit que puisque sa femme sait tout, qu'elle me fasse un courrier clair avec tout ce qu'elle veut pour lui, que ça m'évite de devoir toujours chercher les éléments pour justifier mes réponses, et qu'elle y mette également des références légales correctes à l'appui pour être sûre que ça ne soit pas la 35 000ème de ses lubies sans fondement.

Et puis aussi, dans la phrase "je ferme ma porte pour ne pas être dérangée, parce qu'il faut que je finisse un truc urgent", est-ce qu'il vous semble qu'il y a quelque chose qui ne soit pas clair ?
Parce que visiblement, ici, personne n'a bien compris.

Bref, je ne suis vraiment pas de mauvaise humeur pourtant, mais les jours où je dis que la gestion du personnel, c'est une plaie, je crois que je ne suis pas loin de la vérité....

Mais pour finir sur une note positive, alors joyeuse Saint-Nicolas :-)